vendredi 6 décembre 2013

A la marge de l'hommage




Ceux qui commencent à me connaître ne sont pas sans savoir que j'ai un problème avec l'unanimisme. 

Précisons les choses, je n'ai rien contre l'unanimité en tant que processus décisionnel au sein d'un groupe restreint, mais les réactions de masses tendant toute dans la même direction sont l'une des choses les plus irritantes qui soient pour moi et j'en viens parfois à me demander si ce n'est par masochisme que je consulte le réseau social zuckerbergien.

La raison de mon courroux ce matin n'est pas tant le fait que tout le monde rende hommage à la disparition d'un grand homme. Ce qui m'interroge c'est de savoir qu'une fois cet hommage matinal rendu sur un réseau social, chacun va retourner à son action quotidienne qui ne remet jamais en cause le monde que Nelson Madiba Mandela a participé à faire évoluer sacrifiant pour cela les plus belles années de sa vie (entendez en cela les années que nous sommes le plus censé attribuer à la quête de la jouissance).


mardi 3 décembre 2013

Une génération en marche(s)



L'anniversaire de la marche nous rappelle douloureusement à quelle point notre mémoire collective est mal entretenue

mercredi 20 novembre 2013

God I love football....but...

God I love football*

Mon Dieu, qu'est-ce que j'aime le foot. Voilà ce que donnerais la traduction française de cette phrase faisant partie de l'ADN du coach Taylor, personnage pivot de l'excellente, et trop méconnue, série Friday Night Lights, qui raconte la vie d'une petite ville du fin fond du Texas où les semaines de la population toute entière tournent autour des matchs de l'équipe de foot us du lycée. Alors bien entendu quand je reprends cette sentence, c'est pour parler de ce que les texans appellerais du soccer, mais là n'est pas la question car je suis venu vous parler d'amour.

mercredi 27 février 2013

Indignes indignés

On se cachait derrière un vieux monsieur pour ne rien faire. Laissant à cet aîné et à d'autres la responsabilité de remettre en cause cette folie dans laquelle on vit et que l'on nomme société. On pourra maintenant se cacher derrière son décès. On pourra dire qu'il est trop tard et mourir beaucoup plus jeunes que lui, victimes des fruits de notre inaction.

mercredi 20 février 2013

Je ne regrette rien

"C'est par nos erreurs qu'on avance et chaque chute nous rends plus fort.
C'est par nos errances qu'on s'élance ouvrant des chemins inconnus.
J'ai trop longtemps gardé en bouche mes erreurs et leur goût amer.
Et j'ai trop nourri mes regrets sans savoir ce que l'avenir nous offre.
J'pense à mes frères. Songes à ce que j'aurais pu faire.
Reflechissant, chacun sa route, tout ce qu'on peut se donner c'est de la force.
Je suis tétu comme un Corse, plus nostalgique qu'un monarchiste.
Du coup, je m'accroche à mes fautes, sans un regard pour mes bienfaits.
Le coeur en fête malgré la rage née de ces moments incertains.
Il faut se battre contre soi-même pour d'hypothetiques récompenses.
Et quoiqu'on pense.
En vrai, on veut tous faire le bien.
Mais trop souvent on s'y prend mal quittant l'echelle aux premières marches.
En fait je ne regrette que les décès.
Et tous ceux qui partis trop tôt n'ont même pas pu tenter leur chance."

Old school rap shit by Seven from So2 aka the Young Billy Schnitz aka mymotherfuckinself.

samedi 9 février 2013

L’homme aux poings d’acier et au scenario en carton


Grâce à Polisse, je suis devenu un véritable critique de film, c’est-à-dire que je parle autant, si ce n’est plus des films que je n’aime pas que des films que j’ai aimé. Je vais donc vous parler d’un film qui, pour reprendre l’expression de l’ami avec qui je l’ai vu, est sûrement issu d’un scénario écrit par un enfant de 11 ans ayant vu trop de films de kung-fu de série Z dans le New-York des années 70-80. Aujourd’hui, je -vais vous parler du film « The Man with Iron Fists » réalisé par the RZA

jeudi 31 janvier 2013

Statut

"Toute relation est un miroir dans lequel nous nous voyons tels que nous sommes vraiment. Or, nous sommes pour la plupart incapables de nous regarder en face tels que la relation nous révèle, parce que nous nous mettons immédiatement à condamner ou à justifier ce que nous constatons. Nous jugeons, nous evaluons, nous comparons, nous nions ou nous admettons mais jamais nous n'observons vraiment ce qui est..." (Krishnamurti)

dimanche 27 janvier 2013

Pensées Nocturnes

Tout être qui donne et reçoit de l'amour est utile. A la cité, à la société et au monde.