samedi 8 octobre 2011

dimanche 7 août 2011

OrelSan - RaelSan

Voilà un mec sur qui beaucoup de choses ont été dite. 

Quoique chacun en pense, j'avoue avoir une petite affection pour ce jeune impertinent et sa plume acide.


La Fin de l'été

Les vacances ne sont pas finies que déjà le parfum de la rentrée plane au dessus de nos têtes. Peut être parce que la rentrée qui vient est l'amorce d'une vie complètement nouvelle. Plein de changements. Un nouveau départ en quelques sortes. Cette année sera placé sous le double signe de la SPONTANÉITÉ et de la DISCIPLINE. Et ce qui peut parâtre de prime abord être un oxymore sera d'une grande cohérence dans le long chemin que j'emprunte vers l'émancipation et l'accomplissement personnel.  D'ici là, il me reste encore pas mal de chose à faire. Les critiques des derniers films que j'ai vu : "The Stepford Wives", "Balada Triste de Trompeta" et "Stake Land., Un montage à finir et un petit court-métrage à tourner. Mais bon, allons-y petit à petit. 

Allez pour se mettre un peu de pêche, un petit clip : 

lundi 18 juillet 2011

J'ai rencontré le diable....en me regardant dans le miroir

 J'ai rencontré le diable....

Parfois on sort d'une séance de cinéma, ne sachant pas vraiment quoi penser à propos du film que l'on vient de voir. Et aussitôt la réalité vous saute au visage et transforme complètement votre point de vue sur une question.  C'était mon cas en sortant de ce film. Tout d'abord parlons de ce film.

Une Séparation ?? Une rencontre plutôt !


Je crois que ça demande une certaine forme d’intelligence de reconnaître qu’on a été con. Et sans vouloir présumer de mes capacités mentales, je reconnais volontiers avoir été stupide dans les a priori que j’ai pu avoir concernant ce film. 

Malgré les critiques dithyrambiques dont on m’a fait part le concernant, je me rends compte que j’y suis allé plutôt en traînant les pieds, craignant de me retrouver face  un film « de village » comme on les appelle dans le cinéma d’Afrique noire et comme le souvenir de « Où est la maison de mon ami » marqua ma jeunesse cinéphile.

Tempus Fugit


Tempus Fugit de Ndero Sou Ngadoy (2005) par Ottoproduction

Cannes Hors- Champs Episode 3

Cannes Hors Champs épisode 3 P1 Ombres sur la... par jaaryce2

Cannes Hors- Champs Episode 2

Cannes Hors Champs EP 2 luttes et resistances from ottoproduction on Vimeo.

Cannes Hors- Champs Episode 1

Petit Flashback sur une production Ottoproduction au Festival de Cannes, il y a deux ans

 
 

lundi 6 juin 2011

Medianeras de Gustavo Taretto

Qui l'eut cru ?
Moi grand cynique devant l'éternel et fuyant d'ordinaire tout ce qui pourrait s'approcher d'un début d'happy end, je fus enchanté à la vue d'un charmant petit objet cinématographique argentin.

Medianeras.

Petite fable douce amère sur la solitude des grands ensembles, réussit là où beaucoup avait échoué. Il m'a fait prendre du plaisir devant une comédie romantique. Enfin, soyons sérieux deux minutes, ce n'est pas de Sex Friends dont je vous parle. Il s'agit là d'une comédie romantique dépressive et ça, ça me plaît !


De quoi s'agit-il ?
En fait tout est dans le titre. Les medianeras sont ces murs mitoyens, souvent perdus, souvent aveugles et souvent voués à ne donner que sur le vide tant la capitale argentine (aussi connue sous le nom de Buenos Aires) est fondamentalement anarchique dans son architecture. C'est d'ailleurs le point de départ du réalisateur. Il part de l'architecture de la ville (l'un des protagonistes est d'ailleurs architecte) pour nous amener vers les rapports humains. Il soulève d'ailleurs ici une question qui revient souvent dans les réflexions sur le source de la violence urbaine. Celle de l'influence du lieu où l'on vit sur les rapports que l'on a avec autrui.

Ici dans cette ville à l'architecture bigarrée, nous allons suivre deux jeunes gens symptomatiques de leur époque. Modernes et mélancoliques. Effrayés par les rapports humains directs. Isolés par la technologie censée les lier au monde.  Pleins de phobies, d'appréhension et incapables de profiter de la vie. Ces deux énergumènes vont passer leur temps à se croiser, à se rater. A cause de la maladresse et d'une infinie malchance.

Ainsi, les situations cocasses se succèdent, rencontres avortées, petites lubies mises en lumières, on finit par tous se retrouver dans ces personnages. C'est au prix d'un effort énorme que je me retiens de vous livrer quelques petits moments craquants de ce film. Mais je n'ai qu'une chose à dire : Allez le voir



Medianeras - Bande annonce par TOUSCOPROD